Auteur : dimitri

Focus sur les performances photo des smartphones de la boutique Free Mobile

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free ou par les appareils vendus chez l’opérateur, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Aujourd’hui, parlons des smartphones disponibles dans la boutique Free Mobile et plus précisément de leurs capteurs photo.

Vous l’avez sans doute remarqué. Ces derniers temps, les capteurs photo ont tendance à pousser comme des champignons sur les smartphones. Au dos, il n’est désormais pas rare d’en dénombrer trois ou quatre, organisés en ligne, en carré ou en L, avec une protubérance plus ou moins prononcée. On peut même en trouver cinq dans le cas du Nokia 9 PureView. À l’avant, on peut en avoir un ou deux, installés dans une bordure, une encoche, un poinçon ou une partie rétractable de la tranche supérieure. Voire trois, comme dans le cas de l’Asus Zenfone 7 Pro avec son bloc photo rotatif utilisable à l’avant comme à l’arrière. Mais à quoi sert tout ce beau monde, au fait ?

L’utilité de ces capteurs

À un capteur principal pouvant aller aujourd’hui jusqu’à 48 Mégapixels sur certains modèles d’entrée de gamme comme l’Alcatel 3L 2020 et jusqu’à 108 Mégapixels sur des modèles haut de gamme tels le Samsung Galaxy Note20 Ultra s’ajoutent des modules supplémentaires. Ces derniers servent pour l’ultra-angle (plan élargi), le zoom optique, la macrophotographie (plan rapproché pour des sujets de petite taille) ou les informations de profondeur du mode portrait (avec du flou d’arrière-plan, le fameux effet Bokeh).

L’intelligence artificielle peut venir épauler ces capteurs pour embellir les clichés. Citons par exemple le mode nuit (pour les conditions de basse luminosité) ou la détection de scènes (pour une verdure plus verte, un ciel plus bleu ou un fruit à la couleur plus vive). Une IA dont les performances reposent sur le matériel. D’où de meilleurs résultats sur les smartphones haut de gamme.

Le nombre de capteurs et les Mégapixels ne font pas tout

Si un grand nombre de capteurs suggère une certaine polyvalence au niveau des clichés, ça n’est pas toujours le cas, avec des capteurs à l’utilité parfois discutable, surtout lorsqu’il s’agit de capteurs 2 Mégapixels. Certains constructeurs de smartphones n’hésitent en effet pas à multiplier les capteurs pour gonfler la fiche technique, mais sans réel intérêt à l’usage. Cela s’observe en particulier sur les modèles à petit prix.

De même que l’avalanche de pixels mise en avant dans les fiches techniques n’assure en rien la qualité des clichés à l’arrivée. Un 48 Mégapixels sur un petit smartphone ne rendra pas la même chose qu’un 12 Mégapixels bien exploité sur un modèle haut de gamme comme le récent iPhone 12. Dans la qualité des clichés, il y a d’autres aspects à prendre en compte dont le respect des couleurs. Cela saute parfois aux yeux en comparant la photo et la réalité ou en basculant entre les différents capteurs.

Voir par soi-même

Moralité de l’histoire : ne faites pas aveuglément confiance à une fiche technique. La meilleure chose à faire pour savoir à quoi s’en tenir et éviter la déception, c’est de tester par soi-même en magasin ou avec le modèle d’un proche. Consulter les tests réalisés par la presse spécialisée permet également de se faire une idée des performances photo à attendre du smartphone qui vous fait de l’oeil.

Il faut toutefois garder une chose à l’esprit, surtout si vous comptez immortaliser un événement tel qu’un mariage : aussi performants soient désormais les capteurs photo sur mobile, ils n’offrent pas les performances d’un bon reflex. Cela s’explique notamment par l’impossibilité d’y installer les gros capteurs permettant de capter un maximum de lumière.

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Tech chez Free : c’est quoi le 10G-EPON ?

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Aujourd’hui, parlons de la technologie 10G-EPON.

En décembre 2018, Free a annoncé la Freebox Delta, sa nouvelle box haut de gamme. L’opérateur de Xavier Niel mettait alors en avant la connectivité 10G-EPON par la partie serveur, le boîtier grâce auquel l’abonné est connecté à sa ligne. Qu’est-ce donc ?

L’architecture PON, pour Passif Optical Network, désigne une architecture réseau utilisée dans la fibre optique où le débit disponible se retrouve partagé entre les différents abonnés et ainsi variable selon leur nombre (32, 64, 128). Elle est le contraire d’une architecture P2P, pour Point-to-Point, où chaque abonné à sa propre liaison fibre optique et un débit constant. 10G indique pour sa part que le débit maximal théorique sur cette liaison peut atteindre les 10 Gbit/s.

Sur le papier, et si on ne considère que le dernier segment de la liaison, l’architecture P2P apparaît alors plus intéressante que l’architecture PON. En effet, on ne parle ici que de la liaison entre le noeud de raccordement optique, plus communément appelé NRO, et les prises de terminaison optique des différents foyers/clients raccordés. Or, dans les faits, ce n’est pas à ce niveau que la saturation s’observe et que le débit disponible pour l’abonné baisse, par exemple en soirée, mais plutôt en amont du NRO, au niveau du point de collecte.

Sans compter un avantage non négligeable de l’architecture PON, à savoir les coûts moins élevés. Cela s’explique notamment grâce au plus grand nombre d’abonnés raccordés au NRO avec une même liaison, qui augmente mécaniquement la densité d’abonnés à l’échelle du NRO. Cette question de coût explique également pourquoi les opérateurs proposent des débits asymétriques (débits différents en liaison descendante et en liaison montante), alors que les technologies P2P / PON permettent des débits symétriques (même débits dans les deux sens).

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Tech chez Free : c’est quoi le WPA3 ?

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Aujourd’hui, parlons du WPA3.

En juillet 2020, Free a déployé une mise à jour avec pour objectif d’améliorer le Wi-Fi de ses box Internet. En plus d’augmenter les débits et la portée du signal, le nouveau firmware améliore la sécurité grâce à l’implémentation du WPA3. Qu’est-ce donc ?

Le WPA3 est un protocole pour sécuriser le réseau sans-fil Wi-Fi. Annoncé en janvier 2018 par la WiFi Alliance, il est une nouvelle itération du WPA (WiFi Protected Access) et prend la relève du WPA2 annoncée en 2004, soit 14 ans plus tôt. Une évolution nécessaire avec un Wi-Fi désormais omniprésent (maison, travail, école, hôtels, aéroports, centre-villes, etc.) et utilisé par un grand nombre d’appareils (ordinateur, smartphones, tablettes, enceintes, consoles de jeu, lecteurs multimédias, etc.).

Le WPA3 vient corriger quelques lacunes de son prédécesseur. Il promet une meilleure résistance face aux attaques par force brute pour deviner vos mots de passe même “faibles”. Grâce au mécanisme “Simultaneous Authentication of Equalse” (SAE), le système interagira en effet avec le réseau lors de la saisie du mot de passe et pourra ainsi détecter des tentatives d’attaques. De plus, la technologie “forward secrecy” qui fait son apparition empêchera un éventuel pirate qui aurait réussi à obtenir votre mot de passe de déchiffrer vos communications. Il  impose aussi une clé minimale de 192 bits, ce qui la rend plus difficile à déchiffrer, dans la version pensée pour les professionnels et institutions (WPA3-Enterprise).

Notez enfin que Free propose un mode appelé transition permettant au protocole WPA2 de rester accessible pour les appareils non compatibles.

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Tech chez Free : c’est quoi le MU-MIMO ?

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Aujourd’hui, parlons de la technologie MU-MIMO.

Tout comme la Freebox Delta présentée en décembre 2018, la Freebox Pop dévoilée en juillet 2020 profite de la technologie MU-MIMO. Mais qu’est-ce donc ?

L’époque où seul l’ordinateur familial était connecté à la box Internet est désormais bien lointaine. Aujourd’hui, une foule d’appareils (ordinateur, smartphone, tablette, console de jeu, téléviseur, enceinte intelligente, etc.) peuvent y être connectés et le plus souvent en Wi-Fi. Le nombre est encore plus important dans un foyer avec plusieurs personnes et s’accroît avec le développement des objets connectés.

Et c’est là qu’intervient le protocole réseau MU-MIMO, pour Multiple User Multiple Input Multiple Output. Il permet au point d’accès sans-fil de gérer les requêtes en provenance de plusieurs appareils de manière simultanée, au lieu de les traiter de manière chronologique (premier arrivé, premier servi). 

La différence de gestion des requêtes avec le protocole MU-MIMO (crédit OnTheFlyWiFi)

À l’échelle de l’utilisateur, cela se traduit par un réseau Wi-Fi plus performant, en raison d’un temps attente moins important dans la gestion des requêtes, ces dernières se retrouvant traitées simultanément. La technologie MU-MIMO peut notamment s’avérer intéressante pour les usages tels les jeux en ligne avec un temps de latence réduit.

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Tech chez Free : c’est quoi le Dolby Vision ?

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies.  Aujourd’hui, parlons de la technologie Dolby Vision.

Annoncée le 7 juillet, la Freebox Pop s’accompagne d’un player affichant une compatibilité Dolby Vision. Mais concrètement, qu’apporte-t-elle côté utilisateur ?

Technologie propriétaire développée par Dolby et concurrente du standard HDR10, Dolby Vision assure un rendu fidèle à la vision du réalisateur, tant au niveau des couleurs que de la luminosité ou du contraste. Et ce, pour chaque plan. 

Cette fidélité est rendue possible grâce à des métadonnées ajoutées à chaque image au moment de la production, qui seront ensuite décodées grâce à une puce dédiée et adaptées en fonction des caractéristiques techniques du matériel d’affichage.

Le Dolby Vision est codé sur 12 bits contre 10 bits pour le HDR10, ce qui permet davantage de données et donc d’aller plus loin dans l’optimisation de contenu. Concrètement, on peut gérer une plus grande plage de luminosité, mais aussi une plus grande plage colorimétrique.

Ci-dessous, deux exemples donnés par Dolby, permettant de voir avec et sans le Dolby Vision :

La certification Dolby assure une optimisation du contenu depuis la phase de production, jusqu’à l’affichage sur le téléviseur, le vidéoprojecteur ou l’écran d’ordinateur, en passant par la diffusion en streaming ou via un support physique. Cela implique d’ailleurs l’utilisation d’équipements certifiés à chaque étape. En clair, il vous faudra un téléviseur compatible.

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Le saviez-vous ? Free permet de personaliser la musique d’attente lors des appels sur votre Freebox

Vous ne le saviez peut-être pas, mais les abonnés Freebox ont la possibilité de modifier la sonnerie d’attente lors d’appels sur leur téléphone fixe. Rien de très compliqué en plus.

Vous aimeriez personnaliser la tonalité d’attente de votre téléphone fixe pour quelque chose de plus sympa ? Free le permet grâce à la fonction Ring-Back-Tone accessible depuis l’espace abonné Freebox. Vous allez ainsi pouvoir mettre l’échantillon musical de votre choix pour faire patienter les personnes. Voici d’ailleurs comment faire.

Récupérer le sample audio

Il va falloir commencer par trouver le fichier audio. Comme précisé sur le site de l’opérateur, le fichier audio utilisé devra être au format .wav. Nous avons d’ailleurs tenté un autre format et obtenu un message “Une erreur s’est produite (format audio non reconnu)”.

Pour trouver un fichier audio, il suffit de saisir “échantillons wav” ou “samples wav” dans un moteur de recherche pour trouver de nombreux sites Web en proposant gratuitement.

Pour notre exemple, nous avons récupéré un sample wav depuis le site File-Examples, accessible à cette adresse. Nous avons d’ailleurs choisi la version du fichier pesant 2 Mo, le poids maximal accepté par Ring-Back-Tone, et l’avons enregistré sur le disque dur.

Activer la fonction et la paramétrer

Maintenant que nous avons le fichier audio prêt à être utilisé, il faut se rendre sur l’espace abonné Free, accessible à cette adresse, et aller à la section “Téléphonie”. La fonction “Ring-Back-Tone” se trouve alors dans la sous-section “Gestion des services téléphoniques”.

De là, vous pourrez activer ou désactiver la fonction d’attente personnalisée avec le gros bouton “Activer RBT / Désactiver RBT”. Lorsqu’elle est déactivée, vous avez la tonalité classique. Durant nos essais, le changement était actif dans les secondes qui suivaient.

Dans la partie “Fichiers définis”, vous allez pouvoir ajouter les fichiers audio de votre choix (dans la limite de 10).

Le fichier audio pourra être indiqué comme celui par défaut, soit celui pour tout appel, en cochant la case “Fichier par défaut”. Il pourra également être combiné avec les tonalités classiques en cochant la cache “Mixer”. Pensez par ailleurs à remplir la description pour vous y retrouver par la suite.

Une fenêtre vient d’ailleurs vous confirmer que le fichier a bien été ajouté à la liste avec le message “Ring-Back-Tone installé avec succès !”.

Dans la section “Associations définies”, vous pouvez décider d’avoir une musique d’attente particulière pour certains numéros (jusqu’à 10 en tout). Pour chaque association, il suffit d’indiquer le numéro, de choisir parmi les sons dans la liste de ceux disponibles (d’où l’intérêt de remplir la description, comme dit plus haut) et de cliquer sur “Ajouter une association”.

Une fois l’opération réussie, l’association apparaît dans la liste et la personne tentant de vous joindre avec ce numéro de téléphone aura droit à sa sonnerie dédiée.

Comme le précise enfin Free, la personnalisation est impossible avec les numéros de téléphone internationaux. Elle peut également ne pas fonctionner dans certains cas comme un numéro en liste rouge ou un numéro caché.

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Technologies utilisées par Free : focus sur l’ADSL 2+ et le VDSL 2

Chaque semaine, approfondissez vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Aujourd’hui, parlons du fonctionnement en ADSL 2+ et VDSL 2 que permettent les Freebox.

Si Free commercialise des offres fibre optique, l’opérateur de Xavier Niel propose aussi des offres xDSL reposant sur le réseau cuivre, pour les abonnés qui ne sont pas encore raccordés à la fibre optique.

Un tableau comparatif sur le site de Free permet d’ailleurs d’avoir la compatibilité xDSL exacte proposée par les Freebox Crystal, Freebox mini 4K, Freebox Révolution, Freebox One, Freebox Delta S et Freebox Delta. Elles peuvent ainsi toutes proposer une connexion Internet en ADSL 2+ ou VDSL 2, à l’exception de la Freebox Crystal qui n’assure qu’une connexion ADSL 2+.

Mais que sont les différences en termes de débits ? L’ADSL2+ est une évolution de l’ADSL. Il permet un maximum théorique de 28 Mbit/s en débit descendant (téléchargement/download/réception) et de 1 Mbit/s en débit montant (envoi/upload/émission).

Le VDSL 2 est de son côté une évolution du VDSL. Il promet un maximum théorique de 100 Mbit/s en débit descendant (téléchargement/download/réception) et de 40 Mbit/s en débit montant (envoi/upload/émission). Notez que de tels débits nécessiteront d’être à moins de 1 kilomètre du répartiteur téléphonique.

Le débit dont profite réellement l’abonné dépend évidemment de l’éloignement du répartiteur et de la qualité de la ligne, mais peut aussi être impacté par des éléments comme le condensateur qui n’aurait pas été retiré au niveau de la prise téléphonique murale – même si c’est de plus en plus rare – ou une rallonge téléphonique – un équipement à proscrire.

Retrouvez nos conseils pour améliorer votre connexion Internet en ADSL/VDSL

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Technologies utilisées par Free : focus sur le WPS simplifiant la connexion Wi-Fi

Chaque semaine, approfondissez vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Aujourd’hui, parlons du WPS disponible sur les Freebox.

Les Freebox Mini 4K, Freebox Révolution et Freebox Delta proposent le WPS. Mais qu’est-ce donc ? À quoi ça sert ?

Lancé en 2007 par la Wi-Fi Alliance, le WPS, pour Wi-Fi Protected Setup, est un protocole de réseau local sans-fil. Il permet de préserver la sécurité du réseau sans-fil, tout en simplifiant la phase d’appairage des appareils au point d’accès.

L’appairage passe par un bouton dédié sur le point d’accès, la communication en champs proche avec le NFC ou une clé USB pour transférer les données de connexion entre le point d’accès et l’appareil à connecter. Pas besoin ainsi de saisir la clé de sécurité, la fameuse clé WEP/WPA généralement indiquée sur l’étiquette sous ou derrière le point d’accès. Un sésame rarement facile à mémoriser, car long et compliqué, et souvent sujet à des fautes de frappe.

Dans le cas d’une Freebox, il faut d’abord activer la procédure d’appairage WPS via l’application officielle ou l’interface de gestion. 

Depuis l’application mobile disponible sur Android et iOS, allez dans la section Freebox, choisissez ensuite Wi-Fi et tapotez sur WPS pour lancer la procédure d’appairage :

Depuis l’interface Freebox OS, accessible depuis votre navigateur à l’adresse mafreebox.free.fr, allez dans Paramètres de la Freebox et Wi-Fi, puis cliquez sur le bouton WPS en bas à gauche :

Il faut ensuite demander la connexion du côté de l’appareil. Depuis l’appareil à connecter au Wi-Fi, le player Freebox mini 4K dans notre cas, il suffit ainsi d’aller dans les paramètres réseau et de lancer la procédure d’association WPS. L’appareil cherche alors le point d’accès ayant ouvert une procédure d’appairage WPS, pour établir la connexion.

La méthode d’appairage WPS peut notamment servir pour faciliter la connexion d’une imprimante Wi-Fi ou d’une console de jeu.

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Technologies utilisées par Free : focus sur la fonction audio DRC du player Freebox Révolution

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons de la fonctionnalité audio DRC du player Freebox Révolution.

Dans ses réglages audio, le player de la Freebox Révolution propose une fonction nommée DRC. À quoi sert-elle ?

DRC signifie Dynamic Range Compression. Une fois activée, la fonction permet de réduire la dynamique du son, à savoir l’amplitude entre les niveaux sonores bas et les niveaux sonores hauts. L’utilisateur a le choix d’une réduction élevée de cette amplitude, ce qui évite ainsi les forts niveaux sonores lors des scènes d’action. Pratique pour les environnements calmes. Il peut également choisir une réduction moyenne, ou bien de n’avoir aucune réduction.

Cette technologie DRC n’est pas sans rappeler la technologie AVL, pour Adaptative Volume Level, du player Free Devialet de la Freebox Delta.

Dans les même options audio du player de la Freebox Révolution, vous trouverez d’ailleurs un mode Passthrough HDMI que nous expliquions précédemment.

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Technologies utilisées par Free : focus sur le mode Passthough HDMI de la Freebox Révolution

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons du mode Passthrough HDMI de la Freebox Révolution.

En fouillant dans les options audio du player de la Freebox Révolution, vous avez peut-être remarqué la possibilité d’activer le Passthrough HDMI. Qu’est-ce donc ?

Options audio Freebox Révolution

Mode Passthough HDMI dans la Freebox Révolution

Pouvant être activé ou désactivé depuis la version 1.1.1 du firmware du player Freebox Révolution (publiée en octobre 2011), il s’agit d’un mode avec lequel le flux audio est envoyé à travers la connectique HDMI directement sans décodage. Concrètement, si le son est stéréo, il transitera en stéréo. S’il est Dolby, il sera envoyé en Dolby.

Mais quel intérêt d’activer ce mode Passthrough HDMI, au final ? Lorsque le mode Passthrough HDMI est activé, le décodage audio n’est pas effectué par le player Freebox Révolution. Il sera donc réalisé par l’amplificateur audio ou le téléviseur raccordé en HDMI. Cela peut s’avérer intéressant si vous avez du matériel particulièrement haut de gamme, et donc un traitement a priori de meilleure qualité que la box de Free.

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