Auteur : dimitri

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons de l’agrégation xDSL/4G de la Freebox Delta.

Avec ses Freebox Delta et Freebox Delta S, Free propose une fonctionnalité appelée agrégation xDSL/4G. Qu’est-ce donc ? À quoi cela sert-il ?

Comme le nom le suggère, il s’agit de combiner le flux xDSL (ADSL ou VDSL) et le flux 4G. L’objectif est de profiter d’un renfort via la 4G dans le cas d’une connexion xDSL. Surtout si votre liaison xDSL se révèle peu performante. En résumé : améliorer votre connexion à Internet et ses débits.

S’il faut bien évidemment bénéficier d’une couverture 4G, il faut également s’assurer que la fonctionnalité est activée. Cela se passe dans l’interface de gestion Freebox OS, accessible depuis votre navigateur Web (Chrome, Firefox, Opera, Edge, Safari, etc.) à l’adresse http://mafreebox.freebox.fr/. Cela fonctionne également depuis l’application Freebox sur Android et iOS. 

Après s’être connecté, allez dans la section “État de la Freebox” et cliquez sur l’onglet “xDSL + 4G”.

Il ne reste alors qu’à cocher la case devant “Activer la 4G” et valider la modification.

L’activation devient effective une fois le module 4G démarré. Ce n’est donc pas instantané.

Comme indiqué sur le site de Free, il y a une limite de 250 Go, au-delà de laquelle le débit est réduit.

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons de la messagerie vocale visuelle.

Comme Bouygues Telecom, Orange et SFR, Free propose la fonction de messagerie vocale visuelle. Activable ou désactivable depuis l’espace abonné, celle-ci est gratuite.  Mais qu’est-ce donc ?

Pendant longtemps, il fallait nécessairement composer un numéro spécial pour joindre un service vocal, puis naviguer dans des menus à l’aide des touches du clavier, pour accéder aux messages vocaux et les écouter.

Les opérateurs proposent une seconde solution, plus simple avec la messagerie vocale. Grâce à une fonction directement intégrée dans le système d’exploitation ou grâce à une application à récupérer, tout se passe depuis l’écran du smartphone. Plus besoin de composer le 666 dans le cas de Free, par exemple. Bien plus pratique, en somme.

 

Les messages disponibles dans la messagerie vocale sont en effet regroupés sous la forme d’une liste avec toutes les informations relatives (nom du contact ou son numéro, date et durée du message), mais peuvent également être archivés. On peut ainsi retrouver et consulter directement celui que l’on souhaite, mais aussi faire le ménage assez simplement dans cette liste ou encore modifier l’annonce d’accueil.

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons du NAS.

Avec ses Freebox mini 4K, Freebox Révolution et Freebox Delta, Free propose une fonction NAS. Mais qu’est-ce donc ?

NAS est l’acronyme de Network Attached Storage. Il designe un périphérique de stockage et de partage de fichiers accessible via le réseau, que ce soit grâce à une connexion filaire Ethernet ou en passant par une liaison sans-fil Wi-Fi. Grâce à la fonction NAS, les Freebox mini 4K, Freebox Révolution et Freebox Delta permettent ainsi l’accès à leur stockage interne, mais également à un dispositif de stockage externe connecté à leur port USB.

L’accès est possible en local ou à distance grâce au gestionnaire de fichiers sur votre ordinateur, via l’interface de gestion FreeboxOS ouverte dans le navigateur Web, depuis le téléviseur connecté au player Freebox ou depuis l’application mobile Freebox sur smartphone ou tablette tactile. Ci-dessous, une clé USB branchée sur le serveur de la Freebox mini 4K dont le contenu est disponible depuis l’explorateur de Windows :

Depuis l’interface FreeboxOS ouverte dans le navigateur Web Firefox :

Mais aussi depuis l’application mobile sur iPhone :

Et enfin au sein de l’interface TV :

Du côté des choses rendues possibles grâce à cette fonction NAS, on peut citer la récupération d’un enregistrement TV présent sur le stockage de la Freebox pour le lire ensuite sur l’ordinateur. Il y a également la possibilité d’envoyer des photos ou vidéos vers le stockage de la Freebox pour les lire sur le téléviseur.

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons des services de streaming en ligne proposés avec les Freebox.

Le streaming en ligne a pour avantage de permettre l’accès à de nombreux contenus sans la nécessité d’un stockage en local, le contenu étant envoyé sous la forme d’un flux à partir d’un serveur distant. Cela permet d’économiser de l’espace de stockage sur son appareil, mais également d’avoir accès à de nombreux contenus depuis différents appareils et depuis n’importe où. Le flux transite via Internet (ADSL, fibre optique ou 4G) avant d’arriver sur le smartphone, la tablette, l’ordinateur ou téléviseur, à travers un site Web ou une application. Meilleure est la connexion Internet utilisée, meilleures seront ainsi la rapidité d’accès au service, la stabilité du service et la qualité d’affichage ou d’écoute des contenus.

Pour illustrer ces propos, prenons l’exemple de la Freebox Delta. Son interface TV propose de nombreux services en ligne sous la forme d’applications, parmi lesquels YouTube, Netflix, Prime Video et Canal+ Series pour les films et séries, Prime Music, Spotify et Deezer pour la musique, Le Kiosk pour les journaux et magazines, Youboox One et Prime Reading pour les livres et Twitch pour du live autour du jeu vidéo. En fonction du service, on peut profiter des contenus sur le téléviseur, l’ordinateur, la tablette tactile ou le smartphone. Voire les quatre, comme c’est le cas avec Netflix. 

Chaque service a d’ailleurs ses atouts et spécificités. Netflix met en avant des contenus originaux et permet une consultation en hors-ligne des prochains épisodes de sa série préférée en les téléchargeant puis les supprimant une fois qu’ils sont lus. Pratique si vous l’utilisez souvent sur smartphone. Canal+ Series se démarque également pour ses contenus originaux. Prime Music, Prime Video, Prime Reading et Twitch Prime font, de leur côté, partie d’un abonnement plus complet nommé Amazon Prime. Youboox One propose des livres à lire, mais aussi à écouter grâce à ses livres audio (fonction active début février 2020, pour les abonnés Free).

On parle de streaming en ligne, mais il y a également du streaming en local, avec par exemple Chromecast, pour envoyer un flux vidéo YouTube depuis le smartphone vers le téléviseur en passant par le player Freebox, ou encore PlayGalaxy Link, pour afficher un jeu tournant sur l’ordinateur vers le smartphone Samsung Galaxy.

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons d’Android TV.

Si Android s’adresse aux smartphones et tablettes tactiles, le système d’exploitation de Google se décline sur d’autres appareils, avec notamment Android TV. 

Annoncé le 25 juin 2014 lors d’une conférence Google I/O, le système Android TV s’adresse, comme son nom l’indique, à l’univers de la télévision connectée. Cela se traduit par une interface centrée sur les contenus, ceux disponibles au travers de sa plate-forme de téléchargement (films, jeux) ou par l’intermédiaire d’applications tierces (chaînes de télévision, films et séries en SVOD). Il y a également la possibilité d’envoyer du contenu depuis son smartphone vers le téléviseur grâce à la technologie Chromecast.

On retrouve ainsi Android TV dans des téléviseurs connectés, mais également dans des boîtiers multimédias tels que le player de la Freebox mini 4K annoncée en mars 2015 ou la Nvidia Shield. Selon Android Rumours, il pourrait également se retrouver dans un player accompagnant la Freebox V8 attendue début 2020.

Notez enfin que Google a annoncé Android TV basée sur les améliorations et corrections d’Android 10. Reste donc à attendre le déploiement du côté des constructeurs partenaires.

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons des technologies AVL et Space utilisées par le player de la Freebox Delta.

La Freebox Delta s’accompagne d’un player en partenariat avec Devialet, une société spécialisée dans les enceintes haut de gamme. Cela se traduit par la présence d’une enceinte intégrée qui profite de six haut-parleurs et de technologies évoluées. Parmi elles, AVL et Space qui reposent sur le traitement logiciel et présentent un certain intérêt lors du visionnage de films et de séries.

La technologie AVL, pour Adaptative Volume Level, gère de son côté la dynamique du son. Elle permet ainsi d’éviter les trop grandes différences de volume sonore. Plus besoin de monter le son durant certains dialogues ou au contraire de le baisser dans de grosses scènes d’action.

La technologie Space s’occupe quant à elle de la spatialisation du son. Elle assure en effet l’immersion à 360 degrés lors du visionnage du film, en se servant de la réflexion du son sur les murs. Un son censé venir de l’arrière donnera ainsi l’impression de venir de l’arrière.

Notez enfin que le positionnement du player a son importante pour profiter au mieux de tout le potentiel de l’enceinte. Free conseille d’ailleurs de l’installer contre un mur, au centre. Et surtout d’éviter de le placer dans un meuble.

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons de la connectique Ethernet.

En tant qu’appareils de télécommunications permettant un accès à Internet, les Freebox disposent d’une connectivité Wi-Fi pour permettre à votre ordinateur, smartphone, tablette tactile, console de jeu, téléviseur ou player de se connecter en sans-fil à son réseau. Mais les Freebox proposent également la connectique filaire Ethernet. 

Également appelée RJ-45, et à ne pas confondre à la prise RJ-11 servant à brancher le téléphone fixe, la connectique Ethernet permet de raccorder un appareil dépourvu du Wi-Fi ou simplement d’assurer une meilleure qualité de connexion dans une habitation où le Wi-Fi fonctionne relativement mal, avec la possibilité de complétion par la technologie CPL (Courant Porteur en Ligne) qui utilise l’infrastructure électrique de l’habitation. 

La connectique Ethernet propose différents niveaux de débits en fonction de sa version. Il est par exemple question d’un maximum de 100 Mbit/s dans le cas d’une connectique Fast Ethernet. Concernant le câblage, il existe des câbles droits ou croisés, selon les appareils à connecter entre eux. Il existe par ailleurs différentes catégories de câbles qui définissent les débits qu’il est possible d’atteindre. Un câble catégorie 5 promet ainsi du 100 Mbit/s sur 100 mètres, tandis qu’un câble catégorie 6  laisse envisager du 5 Gbit/s sur 100 mètres et un câble catégorie 6a du 10 Gbit/s sur 100 mètres. La catégorie donne une idée du blindage. Meilleure est la catégorie, meilleur sera le blindage. Or, ce dernier permet de limiter les perturbations du signal transmis.

 

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons de l’e-SATA.

Sur la Freebox One, mais également sur les boîtiers server des Freebox Révolution et Freebox mini 4K, on peut trouver un port e-SATA. À quoi sert-il au juste ?

Venue du milieu de l’informatique et reconnaissable à sa couleur rouge, la connectique e-SATA est en fait la version externe de la connectique SATA (Serial Advanced Technology Attachment), laquelle a remplacé la connectique IDE et sert à raccorder des dispositifs de stockage. Au lieu de se trouver à l’intérieur de l’appareil, la connectique e-SATA se trouve ainsi à l’extérieur. Cela permet de raccorder un dispositif de stockage sans avoir à ouvrir l’appareil (la tour de l’ordinateur ou le boîtier Freebox). Cela peut être un disque dur, mais également une clé e-SATA.

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons du fair use.

Avec les forfaits mobiles intégrant de la data, on peut entendre parler de fair use. À quoi cela correspond-il ?

Le fair use désigne un mécanisme au niveau de la data du forfait mobile. Lorsque l’abonné a consommé toute la quantité de data prévue par son forfait, l’opérateur opère un bridage au niveau des débits. L’utilisateur peut ainsi continuer à utiliser Internet avec son forfait mobile, mais en ayant des débits réduits (Internet moins rapide) jusqu’à la prochaine remise à zéro de son forfait.

Pour ceux ayant le Forfait Free, sans l’avantage Freebox, le fair use se déclenche par exemple après 100 Go. Avec le forfait Série Free 60 Go, il se déclenche au-delà de 60 Go.

Si vous ne vous retrouvez jamais ou alors très rarement avec des débits réduits, c’est que vous avez choisi le bon forfait mobile. Autrement, et si cela se révèle gênant, opter pour un forfait avec une enveloppe data plus généreuse peut être une bonne idée.

Avec le petit dico des technologies utilisées par Free, c’est l’occasion d’approfondir vos connaissances du monde des télécoms et, par extension, des nouvelles technologies. Chaque semaine, un terme expliqué. Aujourd’hui, parlons de l’adresse MAC. 

Dans les paramètres réseau de vos appareils, vous avez peut-être déjà remarqué un intitulé "Adresse Mac" ou "Adresse physique". À quoi correspond cette adresse ? À quoi sert-elle ?

Composée de six groupes de chiffres et lettres (organisés de cette façon : xx:xx:xx:xx:xx:xx), l’adresse MAC (Media Access Control) permet d’identifier une carte réseau et donc l’appareil (ordinateur, smartphone, tablette tactile, console de jeu, player Freebox, etc.) dans lequel elle se trouve. Il s’agit en fait d’un numéro de série de la carte réseau. Chacune dispose ainsi d’une adresse unique. 

Ci-dessous, dans les paramètres du smartphone Samsung Galaxy S10 Plus que nous testons en ce moment :

 

Puis dans ceux de notre Freebox mini 4K : 

 

Côté usages, on peut citer l’exemple de la liste blanche d’une box Internet, afin d’indiquer les seuls appareils pouvant s’y connecter.